Transcriptions écrites
Le 15 février 2009 - Le Mas Dieu
Mes enfants, Je suis heureuse d’être parmi vous, je ressens votre chaleur de foi et d’amour. Que de chaleur vous pouvez distribuer autour de vous, et dont vous ne savez comment faire pour la distribuer ! Heureux vous qui croyez et qui avancez ! Aujourd’hui, je viens comme chaque fois, une mère en peine, mais une mère heureuse de voir certains de ses enfants avancer, prier, aimer, seconder, assister. Votre monde est une barrière à votre spiritualité, mais vous savez monter les escaliers qui vous amènent au Père. Que de foi en vous vous êtes capables de dispendre, d’apporter à vos frères ! Aujourd’hui, je viens à vous, pour vous demander encore et encore de prier, de prier pour tous ceux qui souffrent, pour la désorganisation qui se fait dans les hommes par les gouvernements, par toutes les personnes imbues d’elles-mêmes, mais qui ne savent qu’une chose, récupérer le profit d’autrui. Ces hommes sont tels qu’ils sont, vous ne les changerez pas, ce que vous pouvez changer, c’est l’amour des êtres entre eux et là est la plus grande force de Dieu. C’est une force même qui dans l’erreur amène la Miséricorde du Père Eternel. Mes enfants, aujourd’hui je vous demande une chose qui est primordiale. Je suis venue il y a deux jours, ceux qui étaient présents pourront vous le confirmer. Aujourd’hui, je demande une chose, je demande de vous réunir pour que les portes de la maison que mon Fils m’a octroyée soient ouvertes à tous ces gens qui souffrent, à tous ces gens qui sont perdus, à tous ces gens qui ont besoin du soutien de la dernière minute. Mes enfants, votre chaleur est telle que vous pouvez déplacer les montagnes et en ce point, je suis présente, je viens vous aider, vous seconder, je viens vous assister, je viens mettre les pétales de roses sur votre chemin, je viens faire couler l’eau pure de la source pour vous permettre de boire une eau naturelle. Je suis le framboisier, le fraisier, l’abricotier, je suis le fruit de la vie et ce fruit, je veux que vous le preniez pour permettre de le distribuer à vos frères, pour permettre à tous de se nourrir car cette nourriture n’est que la Volonté Divine. Dieu est en tout, Dieu est partout, Dieu vous aime et vous récompense en chaque chose. Demandez et Il vous répondra. Demandez et Il vous exaucera. Qu’attendez-vous ? Pourquoi ? Dieu ne vous demandera rien, Il vous demande simplement d’avoir une pensée de Lui au travers de vos frères. Si vous voyez Dieu au travers de vos frères, alors oui, vous trouverez la vie, la sérénité en Dieu. Il ne vous est pas demandé d’abattre les montagnes, il ne vous est demandé qu’une chose, écoutez, mettez en pratique l’amour, la paix. En chacun de vous, vous avez une force intérieure que vous cachez par la peur, la peur d’autrui. Parlez en moi, parlez par mon Fils, parlez par le Père et vous comprendrez que la Parole vient comme un flot tranquille d’un long fleuve tranquille. Par la nature, vous trouvez toute la force, toute la compréhension de Dieu. Tout est fait dans ce monde pour que vous soyez réunis, aimant, priant. Avancez, votre chemin, nous l’avons tracé, nous vous avons enlevé toutes les épines, il ne vous reste que des flocons de neige ou des pétales de fleurs. Mes enfants, aujourd’hui je vous demande expressément, et ceci est une prière Divine, d’avancer sur l’ouverture de ma maison. Il n’est point temps de vous disputer, de vous confronter, il est le temps de vous unir. Tant de gens je vous ai envoyés. Tant de gens, vous avez eu des difficultés à accepter par manque de foi. Aujourd’hui, vous devez être unis et avancer dans la prière, l’amour. Une chose est devant vous, une maison qui ne peut être que le refuge de la sérénité, de l’amour et de la paix. Cette maison sera un havre de paix. Mes enfants, pensez à tous ceux qui vont venir et qui seront soutenus, aidés, aimés, secourus, soignés. Vous êtes le fer de lance de cette maison. Mettez votre ego de côté et avancez. Vous êtes tous frères et unis. Mes enfants, je vous remercie de votre présence, du chemin que vous faites pour venir, mais sachez que je suis toujours à côté de vous en tout lieu et en tout instant. Une minute : « Mes frères bonjour, Vous me connaissez, je suis déjà venu plusieurs fois. Vous me connaissez, on m’appelle le petit père des pauvres, vous savez celui qui sillonnait les rues pour soutenir tous les affamés. Aujourd’hui, je viens vous voir parce que j’ai besoin de vous faire comprendre que vous êtes à une croisée et cette croisée, c’est la croisée de l’ouverture de cette maison pour tous ceux qui ont souffert, pour tous ceux qui souffrent à l’heure actuelle. Je suis là derrière vous, je prie, je viens vous aider, je vous houspille d’une certaine manière. Alors écoutez-moi, avancez ! Et aujourd’hui, je suis fier que ce projet puisse se réaliser. » Une minute : « Mes frères, Vous me connaissez aussi, je suis déjà venu. L’Italie n’est pas loin, mais il n’y a pas de frontières entre nos pays. Je suis le Padre, et en ce jour et au nom de Dieu, je vous bénis tous, au nom de Dieu : « Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Amen. » Que mon corps qui repose soit le reflet de ce que vous devez faire. J’ai donné ce que Dieu m’a dit de donner. Aujourd’hui, à vous de donner ce qu’Il vous demande de donner. Je suis avec vous, je viens avec vous, je marche à vos côtés et surtout vous aurez toute l’aide de tous les Saints, de tous les Anges. Il y a une armée qui vous seconde, qui vous pousse à la réussite. Prenez vraiment conscience de votre gloire présente. Restez humbles, restez hommes, mais aimez en toutes choses, en tous lieux et en tous. » Une minute : « Vous ne me connaissez pas, je suis venue qu’une fois, que dans un message écrit. J’ai fini dans l’arène des Romains, je m’appelle Sainte Blandine. Mon cœur frissonne… ne pleurez pas... J’ai grandi dans l’amour et la paix, j’ai vécu et aujourd’hui, je ne suis plus mais je peux au moins aider, soustraire à la violence ce monde. Je suis là pour vous aider. Que de chance vous avez ! Que votre vie est belle ! Que votre amour est grand ! Continuez, je vous aime. » « Vous ne me connaissez point, je viens d’un autre pays, je m’appelle Saint Alexis, martyr. Pour moi, j’étais pas martyr, j’étais simplement l’humble servant de Dieu, on n’a pas occasionné le fait de pouvoir dire la grandeur de Dieu, Son Amour, Sa Vivacité, cette Miséricorde qui nous remplit. En Lui, on ne souffre pas. En Lui, on vit. Je suis heureux d’être venu parmi vous et je vous transmets toute ma foi et ma prière. » Voilà mes enfants, je voulais vous apportez un complément. Aujourd’hui, il faut rentrer dans ce combat de l’ouverture de ma maison. Unissez-vous, vous êtes tellement forts qu’il n’y a aucune possibilité pour que vous ne réussissiez pas. Je suis là et j’enlèverai toutes les barrières. Mes enfants, je vous remercie de m’avoir écoutée et je reviens le mois prochain. Je sais que là le chemin se sera ouvert. Je vous aime. Je suis servante de Dieu pour la réunion des hommes dans l’osmose avec Dieu le Père. Merci mes enfants de m’écouter. Appelez vos frères. MARIE Mère des hommes